Entre les couvre-feux …

Début février, voici nos activités en capacité, un tant soit peu, de fonctionner :

Pour les sportifs, l’école de sport maintenant en extérieur depuis la (re)fermeture des gymnases, les athlètes sur le stade de l’Éraudière, nos cyclistes sur les routes de campagne, nos boulistes par petits groupes sur leur terrain, toujours à l’extérieur. Nos marcheurs nordiques s’organisent aussi par 6 pour jouer du bâton en pleine nature. Les séances de gymnastique douce, d’entretien et Pilates sont possibles en « Visio », en direct ou en différé. Les fidèles du stretching postural reçoivent des consignes de postures régulièrement.
Nos badistes, quant à eux sont toujours en panne de volants puisqu’ils n’ont pas accès aux gymnases.

Pour nos artistes (mineurs), les arts plastiques, l’éveil musical, le théâtre sont animés en direct dans leurs locaux respectifs. La danse contemporaine (y compris pour les mineures depuis la re-fermeture des gymnases) se pratique chez soi avec les séquences envoyées par les animatrices.

Les adultes peuvent suivre les séances de sophrologie en différé (vidéos hebdomadaires), de Yoga en suivant de leur tapis les séances audio mises à disposition par l’animatrice.
Nos amateurs de la langue anglaise sont invités à assister aux cours en direct « Visio ». Les écrivains de l’atelier d’écriture retrouvent chaque semaine les propositions de Bénédicte et travaillent en liaison avec les ateliers photographiques et arts plastiques. Nos photographes ont repris leurs sorties prises de vue ainsi que tout ce qui peut être partagé par écrans interposés. L’informatique et ses amateurs échangent régulièrement à l’aide de leurs outils préférés. Quelques-uns de nos guitaristes ont accès à des exercices de travail. D’autres guitaristes, ainsi que les joueurs de synthétiseur n’ont pas cette chance car nous n’avons pas trouvé de remplaçant pour un des animateurs en arrêt pour quelques semaines.
Nos choristes, nos danseurs bretons, nos  couturières sont en « sommeil » jusqu’à ce qu’ils puissent réintégrer les locaux dans les conditions sanitaires adaptées.

A noter que notre bibliothèque associative 1001 pages ne peut toujours pas s’ouvrir au public, même en respectant les jauges adéquates, comme la plupart des bibliothèques municipales et associatives de la ville, pour des raisons finalement « littéraires » : les livres sont rangés dans des locaux de type L et non de type S, sans que nous ayons voix au chapitre. Il reste heureusement les rendez-vous « à la porte », mis en place par nos médiatrices depuis plusieurs mois, pour rapporter et choisir vos lectures.

A suivre virtuel pour le meilleur en oubliant le pire. Aujourd’hui, respectons scrupuleusement les gestes barrières dans les activités qui ont la chance de pouvoir se tenir physiquement.